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Compositions de Maurice Bourbon

Depuis 1991, Maurice Bourbon compose de plus en plus pour les ensembles vocaux, voire instrumentaux (instruments de verre, accordéon, contrebasse, ...), se donnant ainsi des moyens supplémentaires d’exploration sonore... Les compositions sont ici présentées en ordre rétro-chronologique. ATTENTION : cette page n’a pas été mise à jour depuis 2010.

Sanctus La sol fa re mi

  • Composition : août 2010.
  • Création : le 26 août 2010 à l’église St Flour du Pompidou.
  • Durée 1’05.
    Sanctus pour 4 voix mixtes (SMAB) en imitation et inversion(s) du thème La sol fa re mi de la messe du même nom de Josquin.

Benedictus La sol fa re mi

  • Durée approximative (entrée en solo libre) : 2’
    Benedictus pour 5 voix mixtes (SMTB + B soliste) en imitation et inversions(s) du thème La sol fa re mi de la messe du même nom de Josquin. Comporte un Cantus firmus sur un texte profane : l’anagramme de La sol fa re mi, soit ça, Rémi l’affolle, et Là, l’ami féroce…. Mais ce dernier en anglais : The ferocious friend, there !

Sur l’onde calme et noire

Auf dem Wasser zu singen (Schubert-Bourbon)

  • Arrangement pour chœur mixte à 6 voix, par Maurice Bourbon, du célèbre lied de Franz Schubert.
  • Composition : mars 2005.
  • Durée : 3’40.

L’azur (Mallarmé-Bourbon)

  • Madrigal a cappella sur L’azur de Stéphane Mallarmé, pour 2 solistes (S ou MS, B ou bar) et chœur mixte à 6 voix.
  • Composition : février 2009.
  • Durée : 2’30.

La lune blanche (Verlaine-Bourbon)

  • Madrigal a cappella sur La lune blanche luit dans les bois de Verlaine, pour chœur mixte à 8 voix (le plus souvent 5).
  • Composition : janvier 2009.
  • Durée : 4’.

Sur l’onde calme et noire (Rimbaud-Bourbon).

  • Madrigal a cappella sur Ophélie de Rimbaud pour chœur mixte à 6 voix.
  • Composition : février 2009.
  • Durée 4’.

C’est moi qui écris des vers...

  • Chanson pour chœur mixte, maîtrise et accordéon, sur la poésie de Petru Romosan (Roumanie).
  • Composition : octobre 2008.
  • Création : Lille, Grand Carré de la Mairie, 10 décembre 2008, concert Amnesty International, à l’occasion de l’anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, par le chœur de chambre Coeli et Terra, la Maîtrise Boréale, Bogdan Nesterenko, accordéon.
  • Durée : 1’40.
    Sur une « machine » harmonique (basse de l’accordéon et chœur mixte), la main droite de l’accordéon illustre la fuite et l’impertinence de l’insaisissable poète, tandis que les enfants déclament le texte de Petru Romosan.

Morte di Clorinda

  • Madrigal pour 2 ténors solos, chœur mixte et accordéon.
  • Composition : août 2008.
  • Création : Église romane de Molezon (48), 21 août 2008.
  • Durée : 2’30.
    D’un bel pallore ha il bianco volto asperso... ». Ce madrigal est en quelque sorte un épilogue du Combattimento di Tancredi e Clorinda de Monteverdi. La dernière strophe du Canto XII, 69 de la Gerusalemme liberata de Torquato Tasso n’a pas été « utilisée » par Monteverdi, qui a conclu son Combattimento de la magnifique manière dramatique que l’on sait... sur l’avant dernière strophe du Tasse.
    « Morte di Clorinda » est bien sûr, avant tout, un hommage à l’illustre Claudio. L’accordéon reprend d’ailleurs, dans le prologue du madrigal, les dernières notes du Combattimento.

La delaïssado 2

  • Chanson pour accordéon, mezzo-soprano solo et chœur de femmes.
  • Composition : août 2008.
  • Création : Église romane de Molezon (48), 21 août 2008.
  • Durée : 2’30.
    J’ai repris dans cette chanson le texte et la mélodie populaire, recueillis par Canteloube, que j’avais déjà utilisés en 1998 pour la Delaïssado, à 6 voix mixtes.
    Dans la
    Delaïssado 2, le rôle essentiel est tenu par l’accordéon qui développe une fugue à 3 voix sur le thème. La quatrième voix de la fugue est confiée au chœur.
    Il y a relativement peu d’interventions vocales : la mezzo-soprano est la delaïssado, les voix de femmes racontent l’histoire.

La messe Petits Z’O

  • Composition : été 2006.
  • Création : 21 mars 09.
  • Enregistrement en mai 2009, avec la Missa Ex Machina et la Déploration de Josquin.
  • Durée : 21’.
    La messe Petits Z’O est construite sur les magnifiques thèmes de la chanson
    « Petits Oiseaux, qui mangez du crottin ».
    D’une forme très variée, elle alterne le grand lyrisme (
    Agnus Dei), une valse manouche (Patrem omnipotentem), le babillage des oiseaux des îles (Et in terra pax), la désolation (Qui tollis peccata mundi),la violence (Crucifixus), l’insolente fraîcheur du rossignol en haut de son arbre (Quoniam tu solus sanctus), la sérénité intérieure (Et incarnatus est) et même l’humour, avec les coucous du Sanctus, et l’hommage à Fellini du Pleni sunt.
    Je me suis beaucoup amusé avec cette messe franco-flamande... contemporaine !
    Comme Josquin, Obrecht, et tant d’autres franco-flamands il y a 5 siècles, je me suis imposé des « canons », c’est-à-dire des règles : l’utilisation et la manipulation des deux thèmes principaux de la chanson.
    Emploi du thème du refrain et du thème du couplet, superposition des deux, inversion de l’un ou des deux, soit dans le temps, soit par symétrie par rapport à une note, superposition des motifs obtenus, d’un thème réel à un thème inversé, etc.
    Un jeu mathématique presque infini, seulement limité par la durée de l’œuvre !
    Un autre plaisir a été d’y introduire des chants d’oiseaux : la mésange, le rossignol, le pipit des arbres, le coucou, le geai, le corbeau et beaucoup d’autres provenant d’îles exotiques... imaginaires !
    La
    messe « Petits Z’O » est écrite pour 3 à 7 voix, avec un bref passage terminal à 12 voix (Dona nobis pacem). Elle sera confiée pour la création aux splendides voix des solistes de Métamorphoses, parfois à un petit chœur (Métamorphoses, adjoint aux jeunes apprentis professionnels de « Biscantor ! »).
    Elle est proposée en concert avec la
    messe Ex Machina (Maurice Bourbon), ou avec une messe de Josquin Desprez (Malheur me bat ou L’Ami Baudichon)

La messe Ex Machina 1

  • Composition : janvier 2006.
  • Création : Roubaix, église St Joseph, 1er mai 2006, par le chœur de chambre Coeli et Terra
  • Enregistrementen mai 2009, avec la Messe petits Z’O et la Déploration de Josquin.
  • Durée : 26’
    Tout d’abord est né le
    « Sanctus-machine »... Puis l’idée s’est naturellement imposée de compléter la messe.
    J’ai écrit la
    Missa « Ex machina 1 », comme souvent les messes le furent par les compositeurs franco-flamands des XV° et XVI° siècles, selon une règle que je me suis imposée. Le canon choisi fut la « machine » musicale, utilisant et combinant des systèmes : des formules répétitives, pulsations plus ou moins complexes, en général rythmiques et/ou mélodiques ; des progressions mathématiques de l’harmonie.
    Vous avez dit répétitif ? Donc ennuyeux...
    Ah ! J’espère que non : l’espace créatif est resté très vaste, avec le choix des mélodies, de la dynamique, du tempo, du nombre de voix, du nombre de chœurs et… du type des machines !
    Et la machine est drame...
    Non pas dramatiquement puissante par ce qu’elle écrase et produit, mais en tant qu’expression dérisoire et fugitive de l’activité humaine dans l’univers.
    La « machine musicale » s’attaque, par leur partage, au temps et au son.
    Sa minuscule dimension et l’obstination têtue de ses mécanismes, durant sa courte existence, nous donnent la mesure – si l’on peut dire – de l’inexorabilité et de l’infini.
    ... au service de ce drame...
    ... qu’est le texte de la messe, poli par les siècles et l’usage, chargé de vénération et d’histoire, si intense et contrasté, avec, tour à tour, ses douceurs, ses douleurs, son exaltation et ses violences.
    « Ex machina » ?
    Ressorts... mécanismes... rouages... dynamique... Nous voici donc au théâtre.
    Attendons le... « ... ex machina ».
    Chut...

Il était une voix… ou deux…
Fil directeur pour le Rassemblement Annuel des Chorales de Lozère, texte, musiques de liaison, un récitant, contenant deux pièces originales : Wiegenlied (Mozart-Bourbon), L’amour finit toujours en chansons (Bourbon)
Composition : hiver 2008
Création : Marvejols (48), salle polyvalente, 18 mai 2008, par 5 chorales de Lozère et l’ensemble vocal de Molezon
« Il était une voix... ou deux... » est une plaisanterie musicale, née d’un pari.
A partir d’un bouquet de chansons proposé par chaque chorale, sans aucune directive préalable, Maurice Bourbon a imaginé une histoire brève permettant d’inclure chaque morceau dans un enchaînement fluide et un spectacle unique (et éphémère...). Il a composé ensuite les musiques de liaison nécessaires à l’enchaînement ou des morceaux spécifiquement adaptés à l’histoire (
« Berceuse », « L’amour finit toujours en chansons »).
Durée : 1h 10

Wiegenlied

Berceuse. Arrangement pour chœur mixte et deux solistes (SA) de « Wiegenlied » de Mozart

Composition : hiver 2008

Création : Marvejols (48), salle polyvalente, 18 mai 2008, par 5 chorales de Lozère et l’ensemble vocal de Molezon

Durée : 1 mn 30


L’amour finit toujours en chansons. Chanson pour chœur mixte, a cappella.

Composition : hiver 2008

Création : Marvejols (48), salle polyvalente, 18 mai 2008, par 5 chorales de Lozère et l’ensemble vocal de Molezon

Durée : 1 mn 25


Sub umbra. Oratorio cosmique… ou gigantesque madrigal ? Pour chœur, baryton-basse solo, contrebasse, accordéon et hautbois, récitant, sur le texte de Victor Hugo (chapitre « Sub umbra », », Les travailleurs de la mer, II, 5).

Composition : juillet 2007

Création : Ste Croix Vallée Française (48), temple, août 2007, par le 15° Atelier International de Polyphonie Vocale en Cévennes

J’avais depuis de longues années l’envie de composer « sur du Hugo ».
Fasciné par le gigantisme, l’énormité de ses mondes.
Mais justement limité par cette immensité : que choisir dans cet océan perpétuel ?
Après quelques textes poétiques articulés avec ceux de Dante dans
« Inferno uno » (pour chœur et orchestre d’improvisation, créé en 2007), mon choix s’est porté sur le chapitre « Sub umbra » des Travailleurs de la Mer.
Gilliatt est sur son récif, « sous l’ombre ». Sous l’ombre gigantesque du cosmos.
J’ai coupé un peu (pardon, Victor !), et l’inspiration est venue !
Le récit est partagé entre le récitant, le soliste baryton-basse et le chœur. Comme d’habitude, j’ai confié les parties dramatiques au chœur, la violence et les interrogations existentielles au soliste. Et le récitant... récite, sculptant les mots et revisitant les univers de Hugo.
Sans les profondeurs cosmiques de la contrebasse, sans les couleurs de l’accordéon-caméléon, sans la charpente et la lumière salvatrice du hautbois, l’œuvre étaient inimaginable.
Inimaginable aussi sans l’utilisation du silence, parfois presque agressive…
Inimaginable enfin sans le choc entre tonalités et atonalité…

Durée : 16 mn 20


Le ciel noir. Madrigal extrait de Sub umbra. A cappella. Pour baryton-basse solo et chœur mixte.
Durée : 1 mn 40


Inferno uno. Un voyage au pays des ombres avec Dante et Hugo. Pour chœur mixte, 2 sopranos solos, orchestre d’improvisation, 2 récitants. Textes de Dante (Inferno) et de Victor Hugo (La Légende des Siècles)

Composition : automne 2006 – hiver 2007

Création : Florac (48), La Genette verte, 15 avril 2007, par l’ensemble vocal de Molezon et l’Orchestre d’Improvisation de Lozère

Cette œuvre alterne des musiques écrites (pour chœur, pour chœur et solistes, petit ensemble instrumental, 2 contrebasses) et de nombreuses improvisations (orchestre d’improvisation, chœur) suivant quelques guides.

Durée : 35 mn environ (varie selon les développements des improvisations)


Un démon. Madrigal, extrait de Inferno uno, (« Un démon » de Vicor Hugo, Légende des Siècles, appendice), pour chœur mixte, a cappella.

Composition : automne 2006

Création : Florac (48), La Genette verte, 15 avril 2007, par l’ensemble vocal de Molezon

Durée : 2 mn


Kaleidophone. Œuvre pour solistes et chœur a cappella, écrite pour les 8 secondes de réverbération de l’Atrium du Palais des Beaux-Arts de Lille. Elle alterne musiques écrites (originales pour la plupart, un seul arrangement de J.-S. Bach), musiques improvisées sur un canevas écrit, ou improvisations presque totalement libres.

Composition : février-mars 2007

Création : Lille (59), Atrium du Palais des Beaux-Arts, 4 mai 2007, par le chœur de chambre Coeli et Terra.

L’œuvre est constituée de 8 mouvements, construits autour d’axes et de plans de symétrie :

  • Inquiétude
  • Calme trompeur 1
  • Calme trompeur 2
  • Contrariété
  • Adversité
  • Zum Friede 1
  • Zum Friede 2
  • Vers la paix

Ils s’enchaînent, partant du centre et retournant au centre, occupant tout l’espace, et même un peu au-delà, cajolant, creusant, sollicitant l’acoustique, ou la contournant, jouant d’elle depuis les plus tendres accents jusqu’aux agressions les plus sauvages.
Coeli et Terra était composé pour l’occasion d’un chef et de 20 chanteurs, dont 5 solistes.

Durée : 30 mn environ


Nymphes des Bois

Texte à venir...


Champ de Bataille. Œuvre pour chœur mixte, a cappella ou accompagné à l’accordéon.

Composition : 2005

Création : août 2005, église romane de la Boissonnade (Moissac Vallée-Française, 48) par le 13° Atelier de Polyphonie Vocale en Cevènnes.

Création dans Nymphes des Bois : Lille, Condition Publique, mai 2006.

L’œuvre est une « suite » de La Guerre (Janequin). La Guerre est l’image d’Épinal de la guerre, toute à la bravoure des Français et à la gloire du Roi de France. Champ de Bataille est par contre un retour sur terre, un retour à l’horreur, après la victoire. Sur le champ de bataille, s’élèvent un motet de miséricorde, et les cris des mourants, s’éteignant les uns après les autres jusqu’à l’unisson final, horizon immuable, silence éternel...
Œuvre en deux parties principales : tout d’abord les plaintes des blessés, auxquels se superpose un motet de miséricorde à 6 voix ; puis une improvisation chorale menant provisoirement au silence.

Durée : 5 mn environ (elle dépend de la durée des improvisations)


Déploration de Josquin. Chanson-motet, « tombeau » de Josquin. Effectif : 2 solistes sopranos, chœur mixte (5 voix) et accordéon.

Composition : date à venir

Création : août 2005, église romane de la Boissonnade (Moissac Vallée-Française, 48) par le 13° Atelier de Polyphonie Vocale en Cevènnes.
Création dans Nymphes des Bois : Lille, Condition Publique, mai 2006.

Enregistrement en mai 2009, avec la Messe petits Z’O et la Missa Ex Machina 1.

Déploration de Josquin est une chanson-motet en trois parties, entièrement construite sur la teneur en latin de la Déploration d’Ockeghem de Josquin. Le texte de Molinet est également entièrement repris, « actualisé » cependant : les noms des compositeurs cités dans la chanson de Josquin sont changés pour laisser place à des compositeurs survivant à Josquin et le pleurant.

Durée : 6 mn 10


La valse du bonheur. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 4 mn 14


La bière. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 3 mn 55


Les Roubaignos sont toudis là. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 4 mn 24


Les progrès modernes. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 3 mn 05


Les frites. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 3 mn 55


La navette en fête. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 2 mn 38


L’tchin du brasseu. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 4 mn 35


La jeune fille en deuil. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 5 mn 05


Ah ! qu’in est fir d’êt’ Roubaignos !. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 5 mn 07


Le canard en nourrice. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 3 mn 21


Histoire d’un désabusé. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 5 mn 31


Consolation. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 3 mn 07


La guerre. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 3 mn 09


Le pays natal. Harmonisation

Composition : 2003

Création : 2004

Enregistrement en mai 2004 (CD Vivat ! 1/2 siècle de chansons roubaisiennes )

Durée : 5 mn 39


Symétrie pour nombre pair de sopranos solistes et pour chœur de mezzos d’effectif incertain

Composition : 2003

Tenebrae factae sunt. Motet pour 7 basses solistes et chœur de barytons

Composition : mai 2003

Création : St Germain de Calberte (48), août 2003, par le 11° Atelier International de Polyphonie Vocale en Cévennes


Pyramidzumènes. Chanson pour 12 sopranos solistes

Composition : 4 mai 2003


Crucifixus pour 2 barytons-basses

Composition : 13 décembre 2002


Pleni sunt Cœli et Terra. Canon à 4 vx de femmes (SSAA)

Composition : 23 juin 2002

Création : Ste Croix Vallée Française (48), temple, août 2002, par le 10° Atelier International de Polyphonie Vocale en Cévennes


La complainte de la Tour de Constance. Harmonisation

Composition : juillet 2002

Création : Le Pont de Montvert (48), temple, juillet 2002, par l’ensemble vocal de Molezon


Messe de Ste Croix, kyrie. Pour soprano et ténor solistes, chœur mixte, a cappella

Composition : 13 août 2001

Création : Ste Croix Vallée Française (48), temple, août 2001, par le 9° Atelier International de Polyphonie Vocale en Cévennes


Valse des Mineurs. Harmonisation

Composition : sept 2001

Création : 2002, par un Rassemblement de chorales ACJ Nord Pas de Calais


Étude pour cinq sopranos

Composition : 3 juin 2001

Création : Lille, Hospice Comtesse, 21 juin 2001, par 5 sopranos de Coeli et Terra


Quand la boiteus’. Harmonisation d’une chanson picarde

Composition : septembre 2000

Création : Prato, Italie, septembre 2000, par Métamorphoses


La delaïssado. Harmonisation pour chœur mixte d’une mélodie anonyme occitane, recueillie par Canteloube

Composition : 1998

Création : Meyrignies (59), avril 99 par Coeli et Terra


Instrument vert et conteur bleu. Conte musical écrit pour (et avec) l’école Lacordaire (Paris, 15°)

Composition : hiver-printemps 91

Création : Paris, théâtre de la Plaine, 24-25-26 juin 91, par l’école Lacordaire et Métamorphoses, et Pascal Cranga, conteur et vielleux.

Plusieurs de ces œuvres ont été gravées (voyez la rubrique discographie)

Date de publication : mardi 6 avril 2010


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